Extrait des ROMANCES DU VENT
Page
Le soir, quand le soleil se couche sur la mer,
La couvrant d’or et de pourpre, le vent continue de courir sur le
rivage, effleurant la crête des vagues, faisant voleter les grains de sable
jusqu’au front des petits enfants pour leur fredonner de chantantes berceuses.
Il court d’un rocher à l’autre, et dévoile, l’indiscret, ce qu’il a
surpris sur son chemin ; il vous pousse dans le dos, et vient vous chuchoter à l’oreille d’étranges
romances.